Tout commence par un article, sobrement intitulé Notre Parole, publié en 1988 dans Libération.
L’auteur ? Un poète inclassable à la langue vive et pointue, Valère Novarina. Avec ce style qui n’appartient qu’à lui, il y dénonce le traitement de la parole par les médias et la façon dont ils s’acharnent à lui ôter sa profondeur et son étrangeté.
Dans un dispositif proche du plateau de télévision, les corps enfermés dans un langage médiatique sont poussés à éprouver leurs propres limites, avant que l’amplitude poétique de la parole ne vienne enfin les délivrer.
Rencontre avec l'équipe artistique après les représentations : jeudi 14 janvier et jeudi 28 janvier